Citation

« We need to get some broad based support, to capture the public’s imagination… So we have to offer up scary scenarios, make simplified, dramatic statements and make little mention of any doubts… Each of us has to decide what the right balance is between being effective and being honest. »

– Prof. Stephen Schneider, Stanford Professor of Climatology, lead author of many IPCC reports

3 Responses to Citation

  1. Le même homme qui disait en 1971 ceci :  » Nos calculs suggèrent un refroidissement global jusqu’à 3,5°C. Une telle baisse de la température moyenne terrestre, si elle se poursuivait sur quelques années, suffirait à déclencher un nouvel âge glaciaire.  » S. Schneider, fondateur du journal Climate Change et auteur principal du GIEC 2001, in Science-1971.

    Stanford University a eu de généreuses subvention d’EXXON pour étudier sur le climat pour le compte du GIEC.

    Ceci prouve les citations suivantes :  » Les partisans du réchauffement prédisent que celui-ci est imminent et que nos émissions sont à blâmer… Si nous ne nous sentions pas inquiets et coupables, nous pourrions ne pas leur payer leurs salaires. C’est aussi simple. « Karry Mullis, prix Nobel de Chimie 1993

    “Warming fears are the worst scientific scandal in the history. When people come to know what the truth is, they will feel deceived by science and scientists.” Dr. Kiminori Itoh, ex-membre du GIEC et spécialiste de renommée mondiale en chimie-physique de l’environnement

     » La plupart des scientifiques ne comprennent pas les mécanismes de base et ils préfèrent s’en référer aux modélisateurs du climat. Les modélisateurs du climat veulent rentrer toutes les données dans les modèles. Ainsi, les modèles climatiques sont supposés vous donner la solution par un coup de baguette magique. Je parierais qu’un grand nombre de scientifiques sont sceptiques mais ils ne l’admettront pas en public. Si vous en discutez avec la plupart des scientifiques qui sont des ardents supporteurs de cette question (NDLR : du réchauffement climatique anthropogénique), vous réalisez qu’ils ont une vision politique ou idéologique globale qui nécessite que l’humanité cesse de mettre du CO2 dans l’atmosphère. C’est une croyance religieuse et elle est très répandue dans les milieux scientifiques.  »
    Roy Spencer Directeur de Recherches sur les questions climatiques à l’Université de l’Alabama (Huntsville). Il a été chef de projet sur la recherche climatique à la NASA.

     » Il y a tant de gens qui tirent bénéfice de cette affaire de réchauffement de la planète – tous les grands laboratoires de recherche et autres. L’idée est d’effrayer le grand public afin de recevoir de l’argent et de poursuivre ses travaux. Maintenant que la guerre froide est terminée, nous devons nous fabriquer un nouvel ennemi, commun à tous, pour soutenir la Science et quel est le meilleur ennemi commun pour la planète que les gaz à effets de serre ?  »
    BILL GRAY est professeur émérite (donc retraité) au laboratoire de Sciences Atmosphériques de l’Université de l’Etat du Colorado.

    « Le fait que l’effet de serre ne peut être détecté dans la basse troposphère, pendant de longues périodes, montre que le réchauffement qui est évident dans les mesures de surfaces ne peut pas être dû à l’effet de serre. »
    Vincent Gray est depuis 1991 et jusqu’à nos jours inclus, un des relecteurs officiels et attitrés des différents rapports pondus par le GIEC. Spécialiste chevronné du climat, il a été jusqu’à écrire un livre (The Greenhouse Delusion: A Critique of ‘Climate Change 2001) et plusieurs articles, dont un, récemment, en 2007, pour dénoncer les abus et les erreurs commises par cet organisme.

    l existe désormais un vaste corps constitué d’intérêts dressé contre les sceptiques : des gouvernements comme celui d’Obama, qui utilisent le «réchauffement climatique » pour faire passer plus de taxes, de régulation et de protectionnisme ; des producteurs d’énergie et des investisseurs qui espèrent faire fortune avec des arnaques comme le marché des droits d’émission de CO2 ; des organisations non-gouvernementales comme Greenpeace dont la levée de fonds est directement liée à l’anxiété du public ; des envoyés spéciaux sur des questions d’environnement qui doivent sans arrêt surenchérir la menace pour justifier leur job.
    Les politiciens pouvaient s’en tirer tant que duraient les jours où les gens se sentaient assez riches pour payer ces coûts supplémentaires et assez coupables pour penser qu’ils les méritaient. Mais l’effondrement économique global a changé la donne. Comme d’innombrables sondages le montrent, plus les gens se sentent pauvres, plus bas plonge la vertu écologique dans la liste de leurs priorités. « C’est une des rares bonnes choses à sortir de cette récession. Les gens commencent à se demander: Avons-nous vraiment les moyens de nous payer toute cette législation verte? » explique Ian Plimer, géologue australien

     » C’est un mensonge éhonté colporté par les médias que de faire croire qu’il y aurait juste une frange marginale de scientifiques sceptiques sur l’origine humaine du réchauffement climatique. »
    Stanley Goldenberg, météorologue à la Division de Recherche sur les Ouragans de la NOAA

  2. Les fourberies du GIEC

  3. Bobjack dit :

    Plus le temps passe, plus les partisans du réchauffement sont dans le tort et plus leur déni se renforce et plus ils deviennent agressif. Ils ont réussi à purger cette histoire de presque toute science, ils procèdent à l’assassinat de réputation des scientifiques et veulent utiliser la voie juridique et les appels au meutre pour éliminer complètement la science.

    À Paris ils ont même placé des affiches de personnes à abattre.

    Il n’y a tout simplement plus d’excuse pour soutenir cette blague, la seule manière de savoir s’il y a du vrai est de regarder ce qui a été prévu vs ce qui se passe et RIEN de ce qui a été prévu dans le passé ne se confirme aujourd’hui.

    Il a même fallu renommer quelques fois le phénomène et le pire c’est que tout a passé comme du beurre dans une poêle.

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